6 février 2013

Ecrire pour rien dire

Pour reprendre l'expression d'une copine : ralebolite aigüe aujourd'hui, il y a des jours comme ça. Je ferai donc le tirage au sort du blog pour les 50 nuances de -machin chose- Grey demain !

Sinon, j'ai quasi fini les 80 notes -de bidule truc- de jaune et jusque là j'aime beaucoup, même si je lis à petites doses, disons 50 pages par jour.

Et, -ah !- les femmes n'ont pas le monopole de la complexité... la vie est rude parfois.

Une phrase tirée du livre que je lis donc m'a interpellée : "On sait parfois que l'on prend un chemin qui ne mène nulle part, mais on l'emprunte tout de même, car s'y refuser nous laisserait inachevé."


Je médite encore... cherchez pas, surmenage !
 

2 commentaires:

  1. Ralebolite aigüe... je suis en plein dedans !
    ... et quand j'ai lu ce billet tout à l'heure, j'ai renversé mon thé sur mon PC, mon pantalon, la table, mes chaussons, le parquet... Il y a des périodes, comme ça, où les mauvaises nouvelles pleuvent et les conneries s'accumulent.

    Bon courage !

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    1. Oh bah, zut alors Ysalis ! Je ne voulais pas que ce message vous nuise à ce point... j'espère que l'ordi est sauf au moins. Ouep, il y a des moments où tout s'acharne mais je suis de nature optimiste et une nuit et ça repart. J'espère qu'il en va de même pour vous :) Courage aussi, merci !

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